L’intérieur :
La porte vitrée s’ouvre sur un intérieur tout de noir vêtu, du moins dans notre version du Manta.
La version rouge comporte des structures peintes en …. rouge, tout comme la version blanche.

Nous avons un système de fermeture par points d’ancrage qui s’insèrent sur les bords du châssis.
Des plots en plastiques viennent guider la fermeture des portes.

Les portes sont en acier et plastique.
La plaque externe est en acier, elle repose sur une structure en plastique qui est renforcée sur sa face interne par un cadre métallique.

De ce fait, les portes ont une certaine épaisseur, du moins au niveau de la structure métallique interne qui laisse un bel espace vide au centre de la porte.
Le détail est important car il confère au boitier une largeur plus conséquente que ce que propose le châssis à lui seul, un atout pour le câble management et pour le ventirad.

Mais où sont passées les cages… à la trappe!
NZXT met l’accent sur le look extérieur et sur le coté “modding” à l’intérieur avec la présence d’un carénage en bas du boitier et l’absence de baie 3.5″ ou 5.25″ .
Les adeptes du lecteur optique interne passeront leur chemin ou investiront sur un lecteur externe.
Quant au rheobus, la marque propose sa solution que nous verrons par la suite.

Le plateau de la carte mère est dédié au format mini ITX avec les 4 entretoises en place.
Il est doté d’une grande ouverture pour l’accès à l’arrière du Socket.
Des petites ouvertures prennent place au-dessus et au-dessous pour le passage des câbles.

Et devant le plateau ???
Devant, NZXT positionne sa petite astuce pour le rangement des câbles : Une extension faisant partie intégrante du plateau qui sert de goulotte pour faire passer et caser les câbles.

La partie basse du boitier et donc le compartiment de l’alimentation est dissimuler par un carénage en acier.
On retrouve sur le flanc, le logo NZXT. blanc qui est rétroéclairé.

Le dessus comporte de nombreuses ouvertures sous formes de stries.
Etrange comme effet de style !!! pas tant que ça en fait, ces ouvertures permettent un apport d’air à la carte graphique dont son système de ventilation sera très proche de ce carénage comme nous le verrons dans la section montage.
La forme des ouvertures est optimale car elles viennent capter le flux d’air issu de la ventilation avant du boitier pour la diriger vers la carte graphique.
Alors effet de style??? Aussi! nous sommes sur le Manta et nous avons noté plusieurs analogies à la raie Manta! Ces ouvertures ne ressemblent-elles pas aux branchies de ce poisson….

Le cache se termine à l’avant du boitier par une large ouverture pour permettre une mise en place d’un radiateur Watercooling.
Nous avons un peu plus de 45 mm de disponible en comptant le ventilateur en place! Ce qui laisse une marge de 70 mm au total sachant que l’on peut passer le ventilateur à l’avant du châssis!!! De quoi se faire plaisir en terme de watercooling.
On note juste à l’arrière une petite ouverture de forme carré pour le passage éventuel des câbles de la carte graphique, ou pourquoi pas un tube de Watercooling.

On revient sur l’arrière avec la présence des deux équerres PCI ajourées et un ventilateur en 120 mm qui vient occuper l’emplacement dédié.
Il est positionné en extraction.
La forme oblongue des trous de fixation autorise un ajustement en hauteur d’une trentaine de millimètres.

Le haut du châssis intègre un emplacement pour deux ventilateurs en 120 mm ou en 140 mm.

A l’avant du plateau de la carte mère, nous avons deux supports pour SSD en position horizontale.

Le Manta dispose non pas d’un ventilateur mais de deux ventilateurs en 120 mm sur sa face avant positionnés en aspiration.
Une dotation totale de 3 ventilateurs pour ce boitier.

Les coulisses avec pas mal d’éléments que nous allons détailler.
Les différents câbles présents sont tous de couleur noire. Le câble des ports USB 3.0 adopte un profil plat.

Sous l’ouverture pour accéder à l’arrière du Socket, nous trouvons un hub PWM permettant de brancher jusqu’à 7 ventilateurs 3-pins + la ventilation PWM du ventirad.
La solution de NZXT pour palier au défaut de mise en place d’un rheobus.

A l’arrière du châssis, on retrouve le bouton Led soudé sur son PCB.
Il commande l’éclairage du panneau I/O Shield ainsi que l’éclairage du logo sur le flanc du cache.

Nous disposons de plusieurs points d’ancrage disséminés sur toute la surface du plateau de la carte mère.
Notamment autour de l’accès au Socket…

…. Et même sur la partie avant du boitier.
Sur cette partie, nous avons un emplacement pour fixer un disque dur 3.5″.
On note la présence de 6 trous pour ajuster la fixation en hauteur sur 2 niveaux.

La goulotte NZXT. vue des coulisses avec ses larges ouvertures donnant accès à la carte mère et aux SSD.

Sous le carénage de l’alimentation, nous avons sur l’avant du châssis un emplacement pour unité de stockage 3.5″ ou 2.5″.
Les différents trous sont équipes de silentblocs.

L’emplacement de l’alimentation est doté de 6 plots munis de patins en caoutchouc.
Ce qui permet d’accueillir des blocs de grande profondeur.

Un câble se faufile entre les deux emplacements pour venir alimenter un cache noir qui n’est autre que le dispositif de rétroéclairage du logo NZXT.

Nous avons des vis le long du cache ce qui nous laisse penser que le carénage est amovible…

… Mais en fait non!
La présence de rivets sur les autres points de fixation rend le cache définitivement solidaire du châssis (sans compter sur une perceuse destructrice de rivets…).

15 mm…. tel est l’espace alloué à l’arrière du plateau de la carte mère…

… En fait pas vraiment car il faut compter sur la forme bombée de la porte ainsi que l’épaisseur du cadre métallique qui la décale du châssis.
On rajoute donc une vingtaine de millimètres au plus profond (le centre)…

… Et 18 mm sur les bords.
Donc au minimum 33 mm de disponible sans compter la présence de la goulotte et du compartiment inférieur du boitier !!!

